L'Ombre du vent (ROMANS, NOUVELL) (French Edition)

Product Information

Women have an infallible instinct for knowing when a man has fallen madly in love with them, especially when the male in question is both a complete dunce and a minor. L’Ombre du vent, le roman captivant de Carlos Ruiz Zafón, a suscité de nombreuses critiques élogieuses depuis sa publication en 2001. Salué comme un chef-d’œuvre de la littérature contemporaine, le livre a été acclamé par les critiques du monde entier pour son intrigue complexe et sa prose envoûtante. Un intellectuel est ordinairement quelqu’un qui ne se distingue pas précisément par son intelligence, affirma-t-il. Il s’attribue lui-même ce qualificatif pour compenser l’impuissance naturelle dont il sent bien que ses capacités sont affectées. C’est aussi vieux et aussi sûr que le dicton. « Dis-moi de quoi tu te vantes et je te dirai ce qui te manques. » C’est pain quotidien. L’incompétent se présente toujours comme expert, le cruel comme pitoyable, le pêcheur comme dévot, l’usurier comme bienfaiteur, l’arrogant comme humble, le vulgaire comme distingué et l’abruti comme intellectuel. I’m not now and I’ll never be. It doesn’t matter how many books you have read or how smart you are, you’ll never be good enough for that. You won’t be able to find exact words and it’s not just you. Only person who can is the author himself, but I think he already said everything he wanted. Le Prince de la brume, Robert Laffont, 2011 ( (es) El principe de la niebla, Edebé, 1993), trad. François Maspero ( ISBN 978-2221122891)

I could endlessly talk about what makes it great, but instead, I will encourage everyone to read it, and Irving and Simmons I already mentioned of course too. In all three cases, I ask myself how long it takes to write such works and how it´s even possible, although I would agree with Stephen King, who said he is Résultat pour moi, et donc peut-être pour d'autres : une perte de temps sur un livre qui n'en vaut vraiment pas la peine. Daniel Sempere, dix ans, découvre le Cimetière des Livres oubliés en compagnie de son père, une nuit de l’été 1945. Il doit choisir un livre dont il devra prendre soin. Ce sera L’Ombre du vent de Julián Carax : une révélation. Sauf que personne ne connaît ce Carax… Commence alors une quête d’une décennie pour remonter le temps et découvrir qui il est. Le(s) genre(s) de L'Ombre du vent Enfin, nous rencontrons également Beatriz Aguilar, une jeune femme énigmatique qui devient l’amour de la vie de Daniel. Leur relation tumultueuse est marquée par les obstacles et les secrets, mais leur amour persiste malgré tout.

du vent rien que du vent...

L'ombre du vent rassemble une panoplie de personnages développant des caractères bien différents mais formant une ronde cohérente, autour d'une histoire fantastique et impressionnante comme pour rendre le décor un peu plus engageant .

Rempli de haine et de ressentiment pour la mort de Penelope et de son fils, Julián Aldaya retourne au manoir de ses parents. Il renie chaque moment qu'il a perdu de sa vie sans la jeune Pénélope. Après la mort de sa bien-aimée, il décide d'enregistrer chacun de ses romans et se fait appeler Lain Coubert. Il y a toutefois un lieu et un homme qui sont depuis toujours un refuge, Sempere et sa librairie. Comme dans l'ombre du Vent, mais vingt ans avant, cette librairie est tenue par un père et son fils. Et le premier livre que Daniel, jeune garçon de onze ans, va découvrir d’une manière surréaliste et poétique dans ce « Cimetière des Livres Oubliés », où l’emmène son père, c’est … justement … « l’ombre du vent » d’un dénommé Julian Carax. Et pour sûr qu’il ne va pas l’oublier puisque le roman (celui qu’on a entre les mains !) consistera en une quête éperdue de Daniel, pendant plus de dix ans, sur le pourquoi, le comment de ce livre, et le « qui » de ce Julian Carax.

Je me suis donc empressée de lire le second tome, ne voulant surtout pas rompre avec un quelconque autre livre ces instants de délectation dans lesquels m'avaient plongée les mots de cet auteur espagnol au talent indéniable. There is absolutely no overkill of emotions or tragedy, it always stays in the acceptable dose range and, very probably, is credible too. See, I´ve some kind of problems with objectively assessing how good emotional descriptions are, because I tend to rate plot and ideas over characters in most of my reading (and am dead and cold inside) and novels like that are exceptions in my schedule to camouflage my totally über cool weirdness and try to understand human relationships and emotions. But with incompetent subjectivity, I deem it sweeping without escalating towards soap opera for just any moment. Wrapped up in the mystery is a message of death: do we live a full life or wander through it numb? The Shadow of the Wind is an allegory for death in a fictitious novel by the same title. Shadow is a perfect symbol for death evoking images of how death can be metaphorical instead of literal—living shadows of lives, chasing shadows of dreams, being shadows of others, letting memories shadow life. Every character had shadows which could engulf them or they could overcome. In this sense death becomes a fate we chose ourselves. For death is not always the worst thing that can happen ("words are not always the worst prison"). Every time the word shadow was used I considered its illusion of death. It was with much thought that the word was scattered throughout the book. Ces personnages principaux, Daniel, Fermín et Beatriz, sont tous liés par leur quête de vérité et leur désir de découvrir les mystères entourant Julian Carax. Leurs histoires se croisent et s’entremêlent, créant une toile complexe de destins entrelacés. Quand la routine nous freine et qu'un besoin de rêve se fait sentir, ce qu'il nous faut c'est un livre et celui-ci pourrait être l'Ombre du vent de Carlos Ruiz Zafón. L'histoire est enveloppante, les nombreux personnages sont vivants et les différentes histoires du passé et du présent s'entremêlent de belle façon avec la plume dévorante de Carlos Ruiz Zafón.