Les gens de Bilbao naissent où ils veulent : premier roman (Littérature Française) (French Edition)

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Pero bueno, a lo que íbamos, que me enrollo, es una novela que me ha encantado de principio a fin. Me ha gustado mucho conocer la historia de María, perderme entre sus líneas y ver una realidad que a veces cuesta comprender. Ce qui au début paraissait être un simple récit autobiographique prend soudain une autre dimension avec une allure d'enquête policière. J’ai aimé que la quête de sa mère biologique ne soit pas pavée de roses, qu’elle dure des années, comme dans la vraie vie, quoi. Un roman vrai sur une adoption du temps de Franco qui met en lumière le ressenti de l’enfant devenu adulte.

Peu importe si tout est vrai, tant cela sonne juste, émeut, touche. le texte est émaillé de très belles réflexions sur les secrets de famille, l'infertilité, la filiation, la quête de soi, l'immigration et l'insertion difficile pour les parents quand il faut refaire sa vie dans un autre pays.En 1947, une femme bat un poulpe et essaie d'en extraire l'encre. Soudain,elle reconnaît les douleurs de l'accouchement. Une petite fille vient au monde mais elle voulait un garçon. Elle la confie aux soeurs du couvent voisin. La fillette s'appellera Victoria. Maria Larrea me plonge ensuite en plein Paris où elle a été scolarisée. Julian, son père, est gardien du théâtre de la Michodière et sa mère, Victoria, femme de ménage. Hélas, cet homme boit beaucoup, de plus en plus, et violente sa femme. Toute cette « familia » haute en couleurs criardes éparpillées en structures cubistes, vous avez su l'ordonner dans votre tête et dans votre coeur pour votre sérénité et pour mon plus grand plaisir. Al fin y al cabo no sabemos que experiencia tuvieron los padres en las instituciones en las que crecieron, solo se nombra su paso y algunas anécdotas positivas, así que puede que a pesar del trauma familiar que llevaban encima estos padres, estas instituciones fueron bastante beneficiosas para ellos. Quizá la problemática de los padres no lo es tanto, aunque no lo creo, o lo es en ciertos aspectos y no en otros, se queda corto el relato de este asunto que es posible aparezca mas adelante en la vida de Larrea.

Les mots employés sont authentiques et on peut dire que Maria Larrea ne fait pas dans la dentelle quand elle raconte une scène. Il vit, il vibre ce roman. En cuanto a la forma del libro, se divide en 33 capítulos muy cortos y un epílogo. La autora cambia de la primera a la tercera persona dependiendo de la línea temporal en la que situe la narración, lo cual me ha parecido un acierto, pues me gustan las obras que entremezclan dos estilos para dar voz a sus protagonistas. En algunas ocasiones, este tipo de recursos dan lugar a confusión, pero no es algo que suceda en esta obra, Larrea sabe como llevar a cabo este recurso. Ma lecture est passée par plusieurs phases, les deux principales étant l'histoire de ses parents, de sa grand-mère d'abord, histoire suivie par la quête effrénée de Maria Larrea qui fait tout pour tenter de savoir ce que ses parents lui ont toujours caché. En écrivant Les gens de Bilbao naissent où ils veulent, Maria Larrea a effectué un pèlerinage harassant pour retrouver ses origines. l'âge adulte, Maria rumine et carbure au Lexomil, ses relations avec ses parents, son travail de réalisatrice, tout cela s'avère sans saveur, rien ne l'enthousiasme.Les livres d’Eve– Ma collection de livres– Temps de lecture– Joellebooks – Questions pratiques Maria Larrea – Les gens de Bilbao naissent où ils veulent